Ce qui semble paradoxale au premier abord est une réelle passion pour les collectionneurs.
Le saviez vous ?
Chaque État membre de la zone euro peut frapper une fois par an un lot de pièces de deux euros, commémorant un événement d’importance. Il est souvent historique, il peut aussi être contemporain : la France l’a par exemple fait en 2008, pour célébrer sa présidence du Conseil de l’Union Européenne.

S’offrir de l’argent, c’est possible !

Ce qui semble paradoxale au premier abord est une réelle passion pour les collectionneurs. Le saviez vous ? Chaque État membre de la zone euro peut frapper une fois par an un lot de pièces de deux euros, commémorant un événement d’importance. Il est souvent historique, il peut aussi être contemporain : la France l’a par exemple fait en 2008, pour célébrer sa présidence du Conseil de l’Union Européenne.


 

Ce qui semble paradoxale au premier abord est une réelle passion pour les collectionneurs.

 

Le saviez vous ?

 

Chaque État membre de la zone euro peut frapper une fois par an un lot de pièces de deux euros, commémorant un événement d’importance. Il est souvent historique, il peut aussi être contemporain : la France l’a par exemple fait en 2008, pour célébrer sa présidence du Conseil de l’Union Européenne.

 

Les pièces ainsi frappées, en séries très limitées, peuvent être utilisées comme toutes les autres. Néanmoins, elles font la convoitise des collectionneurs, qui en assèchent rapidement le marché. Bien chanceux, donc, celui qui verra circuler un de ces précieux roubles dans son porte-monnaie !

 

Les prix.

 

Si les pièces sont exclusivement de deux euros, leur prix d’achat peut, lui, être bien plus élevé. La loi de l’offre et de la demande n’a que faire de la valeur faciale des galions ! Ainsi, plusieurs sites internet en proposent un certain nombre à des prix variables. Ceux-ci grimpent parfois jusqu’à atteindre plusieurs centaines d’euros pour les très rares exemplaires, notamment ceux du Vatican.