Des chercheurs français sont parvenus à rajeunir des cellules vieilles d’une centaine d’années.
L’immortalité se dessinerait-elle à l’horizon ?
L’interrogation semble quelque peu romancée, mais part d’une découverte bien réelle. Des chercheurs de l’Université de Montpellier ont en effet inversé le cours du temps, en rajeunissant des cellules arrivées en fin de vie. Cette « fin de vie », la sénescence, désigne le stade à partir duquel une cellule cesse de se multiplier.
Ce stade a donc été franchi en sens inverse.

L’élixir de jouvence en préparation ?

Des chercheurs français sont parvenus à rajeunir des cellules vieilles d’une centaine d’années. L’immortalité se dessinerait-elle à l’horizon ? L’interrogation semble quelque peu romancée, mais part d’une découverte bien réelle. Des chercheurs de l’Université de Montpellier ont en effet inversé le cours du temps, en rajeunissant des cellules arrivées en fin de vie. Cette « fin de vie », la sénescence, désigne le stade à partir duquel une cellule cesse de se multiplier. Ce stade a donc été franchi en sens inverse.


 

Des chercheurs français sont parvenus à rajeunir des cellules vieilles d’une centaine d’années.

 

L’immortalité se dessinerait-elle à l’horizon ?

L’interrogation semble quelque peu romancée, mais part d’une découverte bien réelle. Des chercheurs de l’Université de Montpellier ont en effet inversé le cours du temps, en rajeunissant des cellules arrivées en fin de vie. Cette « fin de vie », la sénescence, désigne le stade à partir duquel une cellule cesse de se multiplier.

Ce stade a donc été franchi en sens inverse.

 

En reprogrammant génétiquement ces cellules âgées, les chercheurs les ont ramenées à un état de jeune cellule souche embryonnaire. C’est à dire de cellules « bonnes à tout faire », qui peuvent donner vie par la suite à des cellules ayant une fonction plus déterminée (des cellules cardiaques par exemple).

 

Concrètement, l’information ouvre de nouvelles perspectives pour la médecine régénératrice. La méthode pourrait permettre de reprogrammer des cellules atteintes par une maladie du vieillissement type Alzheimer, afin de corriger la maladie. Un grand espoir pour la médecine et la science donc. De plus amples travaux seront néanmoins nécessaires pour s’assurer de la possible mise en pratique de la découverte.