Une étude américaine vient de réaffirmer la nécessité de maintenir une activité physique régulière.
Rien de révolutionnaire dans cette déclaration : l'inactivité ne présage rien de bon pour la santé.
Des chercheur de l'Université du Missouri (États-Unis) viennent pourtant de se pencher plus longuement sur la question afin d'en déceler les ressorts. Pour mener à bien leur étude, ils ont demandé à un groupe de jeunes adultes de réduire au minimum de moitié le nombre de pas effectués chaque jour.

Bien bouger = bonne santé !

Une étude américaine vient de réaffirmer la nécessité de maintenir une activité physique régulière. Rien de révolutionnaire dans cette déclaration : l'inactivité ne présage rien de bon pour la santé. Des chercheur de l'Université du Missouri (États-Unis) viennent pourtant de se pencher plus longuement sur la question afin d'en déceler les ressorts. Pour mener à bien leur étude, ils ont demandé à un groupe de jeunes adultes de réduire au minimum de moitié le nombre de pas effectués chaque jour.


 

 

Une étude américaine vient de réaffirmer la nécessité de maintenir une activité physique régulière.

 

Rien de révolutionnaire dans cette déclaration : l'inactivité ne présage rien de bon pour la santé.

Des chercheur de l'Université du Missouri (États-Unis) viennent pourtant de se pencher plus longuement sur la question afin d'en déceler les ressorts. Pour mener à bien leur étude, ils ont demandé à un groupe de jeunes adultes de réduire au minimum de moitié le nombre de pas effectués chaque jour.

 

 

Le but : observer la capacité du corps à contrôler le niveau de sucre dans le sang suite à cette nouvelle léthargie.

Si lors de leur activité normale aucun pic de sucre n'était à relever après les repas, les résultats ont radicalement changé avec la mise en place de l'expérience. En se nourrissant exactement de la même manière mais avec une activité physique amoindrie, leur taux de sucre dans le sang s'envolait, avec des augmentations d'environ 26% après le repas.

 

Sur du plus long terme, les chercheurs estiment que l'inactivité serait un facteur majeur dans l'apparition du diabète 2 et de maladies du coeur, quel que soit le poids d'un individu ou sa façon de s'alimenter.

Les chercheurs concluent donc leur étude ainsi : "Vous n'avez pas besoin de courir des marathons, mais les preuves sont claires : vous devez bouger !"