histoires fines un rien coquines

histoires fines .... , avec un rien,de coquinerie.......pour le sel de la vie............

PRIX ESTIMÉ   !
 Un homme vient de se marier à l'église.  ne sachant pas,  quelle somme d'argent, on donne habituellement au prêtre, pour une célébration de mariage, il se renseigne :
-Combien vous dois-je,  pour le mariage, monsieur le curé  ?
-En fait,  plus la mariée   est jolie,  plus  c'est cher ! répond le curé,  en plaisantant !
 Le marié sort alors de sa poche,  une pièce de un €,  et la tend  au prêtre. Ce dernier,  la prend et lui dit :
-Ne bougez pas, je vais  chercher de la monnaie !

HISTOIRE COQUINE...

Un comptable quitte le foyer conjugal, en laissant une lettre à sa femme :
-je te quitte pour ma secrétaire, j'ai 60 ans,  elle en a 18.  Quand tu liras cette lettre, nous serons à l'Hôtel  Continental en train de faire l'amour !"
-le lendemain matin,à l'hôtel Continental, l'homme d'étage,  frappe à la porte du mari, pour lui remettre un courrier.  Il l'ouvre,  et lit :
-" je te quitte,  pour mon prof de tennis.  j'ai  soixante ans, il en a 18. Au moment,  où tu liras cette lettre,  en tant que comptable,  tu comprendras  que 18 rentre plus facilement dans 60 ,  que  60  dans 18......."
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(PAN DANS L'OEIL !
Dupont,  jeune marié,  arrive au bureau un matin,  avec un oeil  au beurre noir.  En rigolant,  ses collègues l'interrogent :
-Qu'est-ce qui t'est arrivé,  mon pauvre vieux    ?
-Et ben,  avoue Dupont,en rougissant,  j'ai voulu donner à ma femme, un baiser d'au-revoir,  en la quittant ce matin,  et l'élastique  de  son soutien-gorge,  s'est décroché  subitement  !
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TROUBLE-FÊTE...
Monsieur,  a réussi  à  traîner  madame  au  cabaret.  Une fois,  n'est pas  coutume ,et puis  c'est les  vacances ! Sur  scène,  une  strip-teaseuse laisse tomber  son  dernier  voile. À ce moment,  madame fait à monsieur, :
-J'aimerais bien que tu me regardes  quand  je  te parle !
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DRÔLE  D'HISTOIRE,
Talleyrand s'aperçut un jour,  de petits larcins,  commis  par son valet :
- À l'avenir,  lui dit-il,  je vous paierai assez,  pour que vous n'ayez plus besoin de voler !
-Je ne puis accepter,  Excellence, j'y perdrais  trop   !
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LE COMBLE

Quand on joue aux cartes, quel  est le comble,  pour un as de cœur, qu'on n'attendait pas ?
Tomber à pic !
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(à  plus..........)



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Ecrit par l'Ordissinaute oderay Voir son profil avec toutes ses créations