Réduction de 48%*

Sofica et crise sanitaire, 5 raisons d'investir dans le cinéma aujourd'hui

Réduction de 48%*


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Produire des films, tout en réalisant des économies d’impôts, c’est possible ! Il suffit d’investir dans les SOFICA, produit rare et unique, qui permet aux particuliers de financer la création cinématographique française. En plus de soutenir le 7ème art français, le fisc vous le rend bien avec une réduction d'impôt de 48%* du montant investi.

C’est le produit à l'heure actuelle qui offre le plus important taux de défiscalisation sur l’impôt sur le revenu. Et largement puisque les autres dispositifs n’offrent « qu’une » réduction de 30 ou 25%. Aussi, les SOFICA échappent au plafond général des niches fiscales de 10 000 euros de réduction d'impôt par an. Elles présentent en effet la particularité d'avoir leur propre plafond situé à 18 000 euros et 25% du revenu global. Soit une économie d’impôt maximum de 8 640 euros.

En contrepartie de cette carotte fiscale immédiate, les SOFICA ont une durée de blocage généralement fixée à six ans, ce qui correspond plus ou moins à la durée de vie économique d’un film. Mais pour un produit de défiscalisation, c'est une durée courte !

Obtenir un gain fiscal immédiat de 48*%, mais pour un blocage de 6 ans et un risque de perte en capital, cela pouvait paraître un peu trop contraignant il y a plusieurs années quant les placements sans risque rapporter 3 ou 4% sans blocage. Mais aujourd'hui les taux sans risque sont à des records de faiblesse. L'OAT 10 ans, le taux d'emprunt de l’État Français, sur lequel se base de nombreux placements, est même négatif ! Face à l'absence de rendement des placements sans risque, les investisseurs n'ont d'autres choix que de chercher des alternatives plus ou moins risquées. Certes, le placement en SOFICA présente un risque de perte en capital, mais vous obtenez immédiatement une garantie de 48%* de votre investissement. Ce qui est pris n'est plus à prendre.

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Une stratégie d'investissement solide et diversifiée


Du fait de la crise sanitaire, les salles de cinéma ont été fermées pendant le confinement, et la fréquentation depuis la réouverture des salles en juin était comprise entre 30% et 40% de ce qu’elle était à la même époque en 2019.

Pour autant, la performance des SOFICA ne dépend pas des seuls résultats en salles, plus exposés aux contrats sanitaire, mais de recettes multiples et variées.

Prenons le cas de la SOFICA Cinémage 16. La société de gestion Cinémage, leader du marché des SOFICA, détaille ainsi sa stratégie, fondée sur trois types d'investissements complémentaires :

• des investissements garantis au nominal par des producteurs, des distributeurs ou des studios (environ 30% des investissements) ;
• des investissements dans la « recherche et développement » des films, remboursés dès que les films et séries partent en tournage (environ 25% des investissements) donc avant leur sortie;
• des investissements en contrepartie des recettes d’exploitation (45% environ). Sur cette catégorie, la rentabilité de nos investissements provient avant tout des recettes internationales ou issues des ventes auprès des chaînes TV et des plateformes de streaming, actuellement en forte croissance, et non des seuls résultats en en salles (les plus exposés aux contraintes sanitaires).

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Des résultats globalement bons


Les chiffre alarmistes de baisse de fréquentation dans les salles de cinéma (-50% depuis le début de l'année) ne disent pas tout de la tenue du marché des SOFICA. En effet, cette chute témoigne surtout d’une baisse de l’offre de films américains en quantité et en qualité liée à la frilosité et à l’attentisme des studios US. Car les majors américaines ont décidé de repousser voire d’annuler la sortie de leurs blockbusters. Or ces films sont les locomotives du marché estival, représentant environ 70% de parts de marché.

Dans ce contexte, les films français, qui constituent le marché principal des SOFICA (qui ne sont pas autorisées à investir sur des films américains), se sont plutôt bien maintenus.

Selon la Société Cinémages : « Dans un contexte de concurrence temporairement moins exacerbée, certains films français soutenus par Cinémage ont même pu profiter d’une meilleure visibilité, rester plus longtemps à l’affiche, et réaliser des résultats qui dépassent nos estimations initiales. C’est notamment le cas pour « La Bonne Epouse » (avec Juliette Binoche, Yolande Moreau et Noémie Lvovsky) qui a attiré près de 650 000 personnes dans les salles, « Effacer l’historique » (avec Blanche Gardin, Denis Podalydès et Corinne Masiero) qui cumule plus de 500 000 entrées et « Antoinette dans les Cévennes » (avec Laure Calamy et Benjamin Lavernhe) qui vient d’atteindre la barre des 600 000 entrées en à peine un mois.»



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Le développement des plateformes de streaming


On entend aussi beaucoup parler de l’explosion du marché des plateformes de streaming (Netflix, Disney+, etc.). Ce phénomène peut-il avoir un impact négatif pour les SOFICA ?

De l’avis des professionnels du secteur, c’est, au contraire, une excellente nouvelle pour l’industrie audiovisuelle !

En effet, la crise sanitaire a accéléré le développement des plateformes de streaming qui constituent un relai de croissance hyper dynamique pour le marché car elles ont besoin de films toujours plus nombreux et diversifiés à proposer à leurs abonnés.

Ainsi sur les 6 premiers mois de l’année 2020, le marché de la location en vidéo à la demande a progressé en France de près de 22%, celui de l’achat en ligne de 36% et celui de l’abonnement aux plateformes de vidéo à la demande par abonnement de 56%. Netflix, à elle seule, a enregistré, en à peine 6 mois, une hausse de 30% du nombre de ses abonnés qui atteint près de 8 millions aujourd’hui.

Si l’offre de films français a déjà nettement progressé sur ces plateformes, la nouvelle législation va les pousser à investir encore davantage dans les productions françaises futures. Cela créera toujours plus d’opportunités de diffusion et donc de monétisation pour les films et séries financés par les SOFICA.

La crise du COVID et les questions légitimes qu’elle soulève ne doivent donc pas masquer la tendance de fond du marché : la demande d’images animées n’a jamais été aussi forte, et il est désormais possible d’accéder aux images partout, tout le temps, sur de nombreux supports et dans de nombreux formats. C’est le moteur même de l’industrie qui tourne à plein !


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Soutenir la culture française


En investissant dans une SOFICA, vous participez au financement de la production audiovisuelle française. Ce marché est fortement soutenu par les pouvoirs publics car il contribue au rayonnement culturel de la France. Les SOFICA sont ainsi soutenues par des leviers publics (crédit d’impôt) mais aussi par des obligations d’investissement et de diffusion des chaînes de télévision nationales et bientôt des plateformes de streaming.

Il s’agit de marchés strictement encadrés par le Centre National de la Cinématographie (CNC) qui assure un contrôle fort sur le financement des oeuvres et la traçabilité des recettes.

En Europe, la France affiche la meilleure fréquentation dans les salles de cinéma (200 millions d’entrées de 2015 à 2019) et surtout une part de marché très forte des films nationaux (entre 35% et 45%), la plus forte d’Europe. Sur les télévisions, les films français sont majoritairement représentés (55) parmi les 100 meilleures audiences TV de 2019.

A l’international, la France demeure le second exportateur de films dans le monde. Et les ventes de séries, documentaires et animation ont doublé en 10 ans.

Les films et séries bénéficient de recettes multiples et diversifiées. Pour la SOFICA la diffusion en salle n’est plus le critère majoritaire de succès, les SOFICA se récupèrent majoritairement sur les ventes à l’international, ventes TV ou ventes à des plateformes de SVOD, sur plusieurs territoires et sur une longue période (droits détenus sur 30 ans).

En plus d’être un investissement attractif, les SOFICA proposent à leur souscripteur « de vivre en live l’aventure du cinéma et des séries ». Visites de tournage, avant-premières, places gratuites, les passionnés de cinéma trouveront des avantages personnels, en plus de la réduction d’impôt, et de soutenir la branche qui leur procure tant de plaisir.

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Communication non contractuelle à caractère publicitaire

* Investissement bloqué jusqu'à 10 ans maximum et risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas de performances futures.

Avertissement :
Toute décision d’investir dans les actions de SOFICA doit être fondée sur un examen exhaustif du prospectus, et notamment de l’avertissement de l’A.M.F en préambule. L’investissement dans une SOFICA non garantie est par nature un investissement sur lequel vous risquez une perte en capital. L’investissement dans une SOFICA ne présente aucune liquidité avant le terme (minimum 5 ans - maximum 10 ans). Vos capitaux sont bloqués. La "performance" des SOFICA repose essentiellement sur l'économie d'impôt qu'elles permettent de réaliser. Les espoirs de gains des SOFICA, hors avantages fiscaux, sont effectivement extrêmement réduits. Les SOFICA doivent être considérés comme des produits de diversification. Tous les professionnels s’accordent à dire qu’ils ne doivent pas dépasser 5 à 10% d’un patrimoine mobilier. Ajustez votre souscription à la réduction d’impôt que vous souhaitez obtenir, il n’est pas possible de bénéficier d’un crédit d’impôt reportable sur les années suivantes. "
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