Le télétravail.

Morning du 13 mai, Télétravail forever ?

Le télétravail.


Source :

Work-from-home ou homeworking.
Et son avenir post confinement.
C'est un sujet qui suscite des interrogations et qui agite le café (fermé) du commerce...
Avec des implications majeures en termes d'économie, de business et de management.
On fait le point.
AUX ÉTATS-UNIS
Les grands groupes ne sont pas pressés de faire revenir leurs salariés au bureau.
Chez Google et Facebook, ce sera 2021, au plus tôt.
Pour Amazon, octobre, pas avant.
Les principales banques évoquent 2021 aussi.
En France, on ne sent pas non plus un entrain démesuré, tant du côté des employeurs que des salariés, pour un retour massif au bureau malgré le déconfinement.

BUT THE QUESTION IS
Quand le coronavirus aura disparu, car il va disparaître un jour, est-ce qu'on va fermer la parenthèse du télétravail, pratique marginale avant la crise?
Une question à plusieurs dizaines de milliards, pour les entreprises, pour les salariés, mais également pour l'immobilier de bureaux et l'immobilier résidentiel.

SI LA PRATIQUE...
...du télétravail, même partielle, persiste, cela aura évidemment un impact pour l'immobilier d'entreprises.
Les entreprises vont économiser des m2 et réduire leurs charges.
Les salariés vont réduire leur temps de transport, améliorer leur qualité de vie et, en principe, être aussi, voire plus, productifs.
Un win win ?

LES DÉTRACTEURS...
...du télétravail à outrance pointent en vrac : l'inadéquation des espaces de vie au travail, l'absence de séparation entre vie professionnelle et vie privée, la complexité du management, l'absence de lien social, l'érosion du sentiment d'adhésion à son entreprise, etc etc.
Je n'ai évidemment pas (vous vous en doutiez) la réponse à cette question, mais si le télétravail devient une pratique courante post coronacrise, même de façon limitée (un jour minimum par semaine) il va falloir sérieusement tout repenser....

ET À PART ÇA? QUOI DE NEUF?...

IL Y A DÉFLATION ET DÉFLATION
Déflation conjoncturelle : on est en plein dedans. C'est la déflation liée au coronavirus. -0.8% les prix aux États-Unis en avril. La plus forte baisse de l'inflation depuis la crise de 2008. Si on exclut les matières...
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