Les jours qui viennent vont être un test important pour les marchés en 2020.

Morning du 6 janvier, LE MATCH: GEOPOLITIQUE CONTRE BANQUES CENTRALES

Les jours qui viennent vont être un test important pour les marchés en 2020.


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Nous allons savoir s’il faut, définitivement, ignorer les événements politiques et géopolitiques majeurs.
Et si la puissance des banques centrales est telle que les cygnes noirs, les « black swans » sont pulvérisés dés leur apparition.
AUCUN ÉVÉNEMENT POLITIQUE
...ou géopolitique majeur n’a eu d’impact durable depuis que les banques centrales ont inondé les marchés de liquidités gratuites ou à taux négatifs
Ni l’élection de Donald Trump
Ni le Brexit,
Ni, plus récemment, les attaques sur les infrastructures pétrolières saoudiennes ou encore la procédure de destitution de Trump.
Rien ne peut gâcher la fête sur les indices boursiers

ET DES LE DEBUT DE 2020
...nous assistons en direct à un nouveau test massif.
Un affrontement entre les États Unis et l’Iran.
Un événement qui aurait suffi, avant l’ère des banques centrales, à provoquer un krach.
Nous allons savoir dans les jours qui viennent si les marchés réagissent encore aux événements ou s’ils sont définitivement anesthésiés par le raisonnement qui consiste à considérer toute baisse, même limitée, comme une opportunité d’achat...parce qu’ « il n’y a pas d’alternative » aux actions dans un monde à taux zéro.
C’est cette rengaine qui a parfaitement fonctionné en 2019.
A chaque mauvaise nouvelle, les investisseurs répondent: "On s'en fout...".

TRUMP, CHEF DE GUERRE
On pensait que "the Art of the deal" consistait à aboyer sans jamais mordre.
Voire à fuir en abandonnant ses alliés comme en Syrie avec les Kurdes.
Mais Trump est véritablement imprévisible.
Il a, subitement, endossé l’uniforme de chef de guerre pour frapper au cœur du régime Iranien.
Les représailles auront lieu par l'intermédiaire des multiples milices financées par l’Iran dans la région.
Reste à savoir si Trump frappera les 52 cibles Iraniennes en représailles des représailles.
52. comme le nombre des otages à l’ambassade des États Unis à Téhéran en 198..., a t’il dit.

Les marchés vont ils dire que de ça aussi, «on s’en fout? »


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