L'inquiétude régnait en Avril sur le pétrole.

Morning du 6 juin, LE MYSTERE DU PETROLE

L'inquiétude régnait en Avril sur le pétrole.


Source :

Le renforcement des sanctions contre l'Iran pourrait faire flamber les cours du pétrole.
Il n'en a rien été.
Au contraire.
Le pétrole est officiellement entré hier en "bear territory", en territoire baissier, puisqu'il a baissé de plus de 20% par rapport à son plus haut niveau d'avril.
EXPLICATIONS PETROLIERES
Rien ne s'est passé comme prévu sur le pétrole.
Le pétrole devait flamber.
Il s'est effondré.
Certes l'Arabie Saoudite et l'OPEP ont alimenté le marché pour compenser l'absence de pétrole iranien.
Certes les Etats Unis continuent à augmenter leur production de pétrole de schiste et renforcent leur indépendance énergétique.

MAIS LA PRINCIPALE EXPLICATION
n'est pas réjouissante.
Les investisseurs anticipent un fort ralentissement de l'économie mondiale.
Du fait des guerres commerciales.
Entre autres.
Ils l'anticipent en misant sur des baisses de taux d'intérêt.
Mais ils l'anticipent aussi en misant sur la chute de matières premières comme le pétrole.
Encore une bonne nouvelle pour Trump qui veut une essence basse pendant la "driving season".

LA QUESTION QUE JE ME POSE TOUS LES JOURS
Je sais.
Je suis un peu particulier...
"Combien de temps les banques centrales vont elles tenir l'économie mondiale et les marchés à bout de bras avec la baisse des taux d'intérêt".

LE NO DEAL
Surprise, surprise, ce matin.
Fiat Chrysler ne veut plus de deal avec Renault qui avait demandé une journée de plus pour réfléchir.
Il semble que Nissan soit parvenu à saborder le deal avec ses réticences.


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