On a eu presque tous les jours cette semaine des nouveaux records sur Wall Street. Wall Street flambe. Doubles records, triples et même quadruple record:dow Jones,  S&P 500,  nasdaq et le Russell qui est l’indice des valeurs moyennes. On est entrés dans une des phases les plus longues de hausse de marché, une hausse de marché qui a démarré en 2009 et qui continue sans faiblir après près de 9 ans.

Morning du 6 octobre, EUPHORIE SUR WALL STREET

On a eu presque tous les jours cette semaine des nouveaux records sur Wall Street. Wall Street flambe. Doubles records, triples et même quadruple record:dow Jones, S&P 500, nasdaq et le Russell qui est l’indice des valeurs moyennes. On est entrés dans une des phases les plus longues de hausse de marché, une hausse de marché qui a démarré en 2009 et qui continue sans faiblir après près de 9 ans.


Source :

QU'EST CE QUI ALIMENTE CET OPTIMISME?
Les derniers baissiers, les derniers bears, ont déposé les armes, ils ont capitulé et gérants humains et systèmes de trading algorithmiques sont tous positionnés encore à la hausse.On est dans ces phases de marché où on ignore totalement les mauvaises nouvelles et où on se concentre uniquement sur les bonnes nouvelles. Et il se trouve que des bonnes nouvelles, il y en a. Le futur plan de réduction d’impôts de Trump a été un facteur accélérateur de la hausse. Mais le marché considère aussi, devant la succession d’indicateurs positifs, que l’économie Américaine est suffisamment forte pour ne pas souffrir des futures hausses de taux aux Etats Unis et ça c’est un élément important. Jusqu’à présent, des perspectives de hausse de taux étaient toujours considérés comme un danger pour les marchés, là, signe de l’optimisme des marchés, les investisseurs considèrent au contraire que s’il y a hausse de taux c’est que l’économie Américaine est forte et donc que les entreprises augmenteront encore leurs profits.

BULLE OU PAS BULLE ?
Alors, la question à plusieurs milliards de dollars, bulle ou pas bulle ?
Très difficile d’y répondre. La situation des entreprises Américaines est bonne, elles font des profits, elles vont largement bénéficier d’une baisse d’impôts, elles sont dans une situation financière plutôt saine même si elles commencent à atteindre des niveaux d’endettement un peu alarmants. Mais d’un autre côté, il est indéniable que les valorisations atteignent des records, les marchés Américains sont chers. Très chers. Probablement trop chers. Mais ils étaient chers il y a 6 mois, et ils le sont encore plus aujourd’hui. Et ce type d’exagération peut durer encore des semaines, des mois ou...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Copyright ©2017 MonFinancier (matinale)
Conseil Financier indépendant : avec Marc Fiorentino les solutions patrimoines, les solutions boursières, les solutions immobilières