Les véhicules en excès de vitesse peuvent désormais être repérés dans le sens inverse de leur circulation ! Les radars mobiles nouvelle génération ne flashent donc plus uniquement les voitures qui les doublent. Prévus initialement cet été, ces radars embarqués dans des voitures banalisées ont finalement reçu leur certification à la rentrée. Comment fonctionne concrètement ce nouveau radar et dans quels départements est-il déjà présent ? De quelles voitures doit-on désormais se méfier ?

Attention aux nouveaux radars mobiles : ils flashent aussi par l’avant !

Les véhicules en excès de vitesse peuvent désormais être repérés dans le sens inverse de leur circulation ! Les radars mobiles nouvelle génération ne flashent donc plus uniquement les voitures qui les doublent. Prévus initialement cet été, ces radars embarqués dans des voitures banalisées ont finalement reçu leur certification à la rentrée. Comment fonctionne concrètement ce nouveau radar et dans quels départements est-il déjà présent ? De quelles voitures doit-on désormais se méfier ?


Les véhicules en excès de vitesse peuvent désormais être repérés dans le sens inverse de leur circulation ! Les radars mobiles nouvelle génération ne flashent donc plus uniquement les voitures qui les doublent. Prévus initialement cet été, ces radars embarqués dans des voitures banalisées ont finalement reçu leur certification à la rentrée. Comment fonctionne concrètement ce nouveau radar et dans quels départements est-il déjà présent ? De quelles voitures doit-on désormais se méfier ?

 

Des radars toujours plus discrets

 

Embarqués dans des véhicules banalisés, ces radars pourront repérer les véhicules en infraction directement dans le flot de la circulation. La grande nouveauté ? Ils sont maintenant capables de flasher les véhicules en excès de vitesse, dans le sens inverse de leur circulation. Avec leur flash infrarouge, il est tout simplement invisible pour l’automobiliste. Un cliché avant du véhicule est donc pris lorsque la voiture banalisée croise l’automobiliste en excès de vitesse.

 

Même si dans ce type de contrôle, le conducteur a peu de chances d’être identifié, la plaque d’immatriculation suffira à retrouver le propriétaire. Ce dernier pourra alors toujours contester l’infraction si une incertitude demeure sur l’identité du conducteur.

 

Seul point faible de ce nouveau radar qui flashe par l’avant : il ne pourra être utilisé que sur des routes où la vitesse limite autorisée est identique dans les deux sens de circulation. Il semble aussi compliquer de l’utiliser sur des routes peu dégagées comportant par exemple un terre-plein central.

 

Où sont-ils présents et quelles sont les voitures banalisées ?

 

En septembre, on en dénombre 46 en France métropolitaine. 50 nouveaux devraient être déployés avant la fin de l’année. La grande nouveauté réside dans les véhicules banalisés puisqu’en plus des Renault Mégane, des Peugeot 208 vont également être équipés de ce nouveau radar. La vigilance est de mise pour les conducteurs habitant les départements suivants :

 

Paris (75), Essonne (91), Seine-et-Marne (77) : deux radars dans chacun de ses départements

 

Alpes-Maritimes (06), Bouches-du-Rhône (13), Corse du Sud (2A) : deux

 

Isère (38), Loir-et-Cher (41), Loire-Atlantique (44), Loiret (45), Morbihan (56), Moselle (57) : trois

 

Aisne (02), Aube (10), Calvados (14), Cantal (15), Charente-Maritime (17), Doubs (25), Eure (27), Haute-Garonne (31), Gironde (33), Hérault (34), Ille-et-Vilaine (35) , Nord (59) Oise (60), Pas-de-Calais (62), Pyrénées-Orientales (66), Bas-Rhin (67), Haut-Rhin (68), Rhône (69), Saône-et-Loire (71), Haute-Savoie (74), Somme (80), Vaucluse (84) Haute-Vienne (87), Vosges (88) : deux

Diesel : vaut-il encore le coup ?