Depuis le lundi 28 novembre, le gouvernement les a transformés en simples « outils d’aide à la conduite ».
Coyotte, Inforad, Wikango,…voilà les noms placés sur le banc des accusés. Selon Le Parisien, ils seraient 6 millions de français à les utiliser à bord de leur véhicule. Aujourd’hui, ils risquent de ne plus leur trouver un grand intérêt.

Les avertisseurs de radars n’ont plus de permis

Depuis le lundi 28 novembre, le gouvernement les a transformés en simples « outils d’aide à la conduite ». Coyotte, Inforad, Wikango,…voilà les noms placés sur le banc des accusés. Selon Le Parisien, ils seraient 6 millions de français à les utiliser à bord de leur véhicule. Aujourd’hui, ils risquent de ne plus leur trouver un grand intérêt.


 

Depuis le lundi 28 novembre, le gouvernement les a transformés en simples « outils d’aide à la conduite ».

Coyotte, Inforad, Wikango,…voilà les noms placés sur le banc des accusés. Selon Le Parisien, ils seraient 6 millions de français à les utiliser à bord de leur véhicule. Aujourd’hui, ils risquent de ne plus leur trouver un grand intérêt.

En effet, après injonction du gouvernement, ces dispositifs signaleront désormais des « zones de danger », et non plus la présence de radars.

 

Aucun problème si les zones de danger en question correspondaient dans les faits à des emplacements de radars. Sauf qu’il aurait été demandé aux préfets d’installer dix fois plus de ces zones que de radars afin de brouiller les pistes. Les bips émis n’auront ainsi que peu de sens. Les fabricants des désormais anciens « avertisseurs » devront mettre à jour leurs appareils en suivant ces schémas dès la mi-décembre.

Les automobilistes pourront néanmoins signaler à leurs confrères de la route des « points de danger », mais sans avoir la possibilité de préciser s’il s’agit de travaux, d’un accident, ou d’un radar. Attention, 1 500 euros d’amende et un retrait de 6 points sur le permis de conduire seront infligés aux usagers réfractaires à cette mise à jour de leur logiciel.