Encore une belle journée pour les valeurs bancaires aux Etats Unis.

Morning du 16 Janvier, TRUMP, LE PRESIDENT DES BANQUES

Encore une belle journée pour les valeurs bancaires aux Etats Unis.


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A côté des discours haineux de campagne de Trump sur la finance et sur Wall Street, le désormais célèbre « mon ennemi c’est la finance » de Hollande faisait figure de déclaration d’amour. Pas un meeting de Trump sans des critiques acerbes sur ceux qui avaient entraîné les Etats Unis dans la crise.
GOUVERNEMENT GOLDMAN
Rappelons que les banques d'affaires, toutes, sans exception, soutenaient Clinton avec de généreux financement. Clinton était la candidate de Wall Street. Trump le candidat du peuple. Au moins sur ce point on peut déjà dire, à quelques jours de son investiture, que Trump président ne sera pas Trump candidat. On a déjà l’impression que Trump est le président de Wall Street.
Son gouvernement ressemble à un conseil d’administration de Goldman tant il y a d’anciens membres de cette banque considérée comme un des principaux acteurs de la crise des subprimes.

UN VENT DE DEREGULATION
Mais également du fait du vent de dérégulation que Trump fait déjà souffler sur un secteur qui est sous contrainte depuis 2008. Les marchés avaient condamné un secteur bancaire plombé par les taux bas, par la déflation, par une économie solide mais pas flamboyante et par les contraintes sur les activités de spéculation. Depuis que Trump a été élu les valeurs bancaires Américaine ont bondi de plus de 20% du fait des nouvelles perspectives.

LES BANQUES SONT DEJA GAGNANTES
Mais ce n’est pas seulement l’espoir qui fait monter les valeurs bancaires, les résultats sont là, les banques gagnent déjà plus d’argent. Dès le début de la période de transition, les banques Américaines ont pu profiter de l’envol des marchés et de la remontée des taux d’intérêt pour booster leurs profits de trading. Le bond spectaculaire de confiance des consommateurs mais aussi des entreprises a également provoqué une hausse des revenus des activités classique et de placements. Et enfin l’amélioration globale de la situation économique permet aux banques de libérer une partie des réserves qu’elles avaient faites pour se couvrir contre les risques de défaut. Trump va être un président Wall...
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