0,13%. Il suffit d’une hausse de 0,13% sur le Dow Jones pour que les traders en salle de marché sabrent le champagne et que les médias qui rongent leur frein depuis 10 jours, titrent enfin « 20.000 points sur le Dow Jones ». Sauf accident, l’indice vedette de Wall Street devrait terminer 2016 en gain de plus de 10%. Une hausse qui s’est réellement déclenchée après l’élection de Donald Trump. Oui, l’évènement qui était censé créer le chaos sur les places boursières.

Morning du 21 Décembre, Les 20.000 points pour aujourd'hui ?

0,13%. Il suffit d’une hausse de 0,13% sur le Dow Jones pour que les traders en salle de marché sabrent le champagne et que les médias qui rongent leur frein depuis 10 jours, titrent enfin « 20.000 points sur le Dow Jones ». Sauf accident, l’indice vedette de Wall Street devrait terminer 2016 en gain de plus de 10%. Une hausse qui s’est réellement déclenchée après l’élection de Donald Trump. Oui, l’évènement qui était censé créer le chaos sur les places boursières.


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L’OISEAU DE WALL STREET
Avec Twitter, Donald Trump fait la pluie et le beau temps sur les sociétés cotées à Wall Street. En 140 caractères, l’oiseau de Wall Street encense et descend n’importe entreprise. Le même jour, deux d’entre elles ont connu des fortunes diverses. Ses messages sur le réseau social flatteurs à l’égard de SoftBank ont fait bondir son cours de 12% sur trois jours. De son côté Boeing s’est pris un taquet 2.0, Trump menaçant d’annuler la commande du futur Air Force One. Ce 6 décembre, certains actionnaires ont été plus heureux que d’autres…

LES CHAUFFEURS D'UBER DANS LA RUE
Les manifestations de chauffeurs d'Uber reprendront le 23 décembre, suite à l'échec des négociations avec la plateforme de réservation. Ils réclamaient le retour à une commission de 20 % perçue par l’application contre 25 % depuis le 8 décembre et une revalorisation des tarifs à 8 euros minimum la course alors qu’elle est descendue à 6 euros aujourd’hui. Mais la société américaine, qui devrait faire une perte de 3 milliards de dollars en 2016, a refusé net ces demandes. On se demande bien pourquoi...

L'ITALIE PRÉPARE LE SAUVETAGE DE SES BANQUES
Le nouveau chef du gouvernement, Paolo Gentiloni, a demandé lundi au Parlement l'autorisation de voter une enveloppe budgétaire pouvant atteindre 20 milliards d'euros afin de renflouer, si nécessaire, les institutions en difficulté, comme Banca Monte dei Paschi di Siena (BMPS). Une mesure visant surtout à rassurer les marchés sur les capacités de l'État italien à sauver le secteur. Sauf que les règles européennes imposent pour tout sauvetage bancaire public, une mise à contribution des actionnaires et des détenteurs...
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