Tout ça a un air de déjà vu. L’euro avait rebondi. Et le voilà reparti à la baisse. Au plus bas depuis 7 mois contre le dollar. Et si le mouvement continue, on va encore voir ressurgir ceux qui, régulièrement , expliquent que l’euro va à la parité contre le dollar. On est habitués à tout ça. Ce qui est moins habituel c’est que tout ça se fait dans un mouvement général de hausse du dollar.

Morning du 24 Octobre, L'EURO SOUS PRESSION

Tout ça a un air de déjà vu. L’euro avait rebondi. Et le voilà reparti à la baisse. Au plus bas depuis 7 mois contre le dollar. Et si le mouvement continue, on va encore voir ressurgir ceux qui, régulièrement , expliquent que l’euro va à la parité contre le dollar. On est habitués à tout ça. Ce qui est moins habituel c’est que tout ça se fait dans un mouvement général de hausse du dollar.


Source :

BAISSE DE L'EURO OU HAUSSE DU DOLLAR?
Un dollar qui a encore battu un record historique de hausse contre le yuan ce matin, et qui continue à écraser la livre ou encore le yen.
C’est donc un mouvement euro et un mouvement dollar
Je n’ai rien compris à ce qu’a dit Mario Draghi jeudi dernier, c’était d’ailleurs peut être le but, mais le marché des changes a conclu de son discours qu’il allait continuer à mener une politique laxiste sur les taux et les liquidités. Pression donc à la baisse sur l’euro. Le marché est également déjà positionné sur la hausse des taux aux Etats Unis en décembre et on attend d’ailleurs cette semaine les discours de trois patrons de branches régionales de la FED. D’où la hausse du dollar. Rajoutez à cela la quasi certitude chez les bookmakers d’une victoire d’Hillary Clinton et vous comprenez pourquoi l’euro est en dessous des 1.09.

TOUT LE MONDE VEUT DEVALUER
Est-ce que la faiblesse de l’euro peut gêner la banque Centrale et l’obliger à modifier sa politique ?
Vous savez, chaque banque centrale majeure ne rêve que d’une chose : dévaluer sa monnaie. Nous sommes entrés dans une phase très importante, essentielle pour l’avenir immédiat des marchés : les banques centrales sont arrivées à la conclusion qu’elles n’ont plus d’impact sur l’économie, que leur politique de baisse des taux et d’inondation de liquidités a atteint leurs limites et qu’il faut donc passer à autre chose. Dans leur tête, autre chose, cela signifie plus de réformes structurelles, mais pour les gouvernements autre chose, cela signifie des politiques de relance dramatiques pour les déficits et pour les dettes. La dévaluation d’une monnaie permettrait de réconcilier les points de vue mais le problème c’est que toutes les...
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