Dans un pays où on nous lave le cerveau tous les jours avec un égalitarisme forcené et dogmatique, règne une inégalité insupportable qui ne fait que s'accentuer. L'inégalité entre le secteur public, ultra protégé, et le secteur privé, condamné à l'uberisation et donc à la précarité. La Cour des Comptes révèle que des nouveaux avantages aux fonctionnaires vont couter 4.5 milliards de plus par an.

Morning du 10 Septembre, LA SCANDALEUSE INEGALITE FRANçAISE

Dans un pays où on nous lave le cerveau tous les jours avec un égalitarisme forcené et dogmatique, règne une inégalité insupportable qui ne fait que s'accentuer. L'inégalité entre le secteur public, ultra protégé, et le secteur privé, condamné à l'uberisation et donc à la précarité. La Cour des Comptes révèle que des nouveaux avantages aux fonctionnaires vont couter 4.5 milliards de plus par an.


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LA SEULE VRAIE REFORME
C'est passé totalement inaperçu. Mais une réforme s'apprête à être adoptée. Une réforme sur "l'amélioration des carrières des fonctionnaires". Il s'agit en fait de hausses massives de salaires, à tous les stades de la carrière, justifiées probablement pour les fonctionnaires "utiles" mais qui vont profiter à tous cette masse de fonctionnaires inutiles.
C'est insupportable quand parallèlement dans le secteur privé, la précarité devient la norme.

UN PAYS DE FONCTIONNAIRES
C'est le rêve du gouvernement.
C'est normal.
C'est un gouvernement, comme souvent, même quand la droite gouverne, de fonctionnaires. Quand même les ministres du Travail n'ont jamais travaillé ailleurs que dans le secteur protégé de la fonction publique, que peut on attendre d'autre.
Mais cette inégalité devient insupportable et bien évidemment le sujet n'est jamais abordé.
Décourageant.

RAS LE BOL DE LA BANQUE CENTRALE AMERICAINE
Je ne suis plus le seul à le dire. Les banquiers centraux des pays émergents ont lancé hier un appel à la FED: Relevez vos taux mais vite car cette incertitude que vous entretenez pèse sur nos monnaies et nos économies.

LA CHUTE DU BRESIL
Coup de tonnerre hier.
L'agence de notation Standard and Poor a dégradé la dette Brésilienne. Et cette dégradation est dramatique car elle fait passer la dette dans la catégorie "junk bonds", obligations pourries. Avec une baisse de la croissance de 2.6% au deuxième semestre, des taux à 10 ans à 15%, une bourse et une monnaie en chute libre, le rêve Brésilien s'est transformé en cauchemar. Il est temps que Dilma Rousseff empêtrée dans les scandales de corruption disparaisse.

ON NE CHANGE PAS
une équipe qui gagne.
La machine à mega amendes américaines s'est remise en marché....
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