Hillary Clinton est officiellement candidate à la Maison Blanche. Comme en 2008. Mais cette fois elle ne devrait pas avoir de concurrents sérieux dans le camp démocrate sauf surprise ou scandale. Du côté républicain, deux candidats se sont déjà déclarés mais on attend la candidature de Jeb Bush, le frère. On a donc de grandes chances d'avoir un duel Clinton-Bush, again, en 2016. Étonnant.

Morning du 13 Avril, Clinton-Bush, Les comeback des dynasties

Hillary Clinton est officiellement candidate à la Maison Blanche. Comme en 2008. Mais cette fois elle ne devrait pas avoir de concurrents sérieux dans le camp démocrate sauf surprise ou scandale. Du côté républicain, deux candidats se sont déjà déclarés mais on attend la candidature de Jeb Bush, le frère. On a donc de grandes chances d'avoir un duel Clinton-Bush, again, en 2016. Étonnant.


Source :

JE SUIS UNE FEMME
En 2008, Hillary Clinton voulait prouver qu'elle était compétente, en 2016 elle veut prouver qu'elle est humaine, proche des Américains. Elle va jouer la carte de la mère, la grand mère et d'une première femme à la tête des Etats Unis. C'est un revirement stratégique intéressant. Le slogan de la pré campagne "I'm ready for Hillary". Bof.

LA FINANCE DOIT SE RÉINVENTER
La décision de General Electric de se séparer de ses activités financières est un vrai évènement. C’est un coup de tonnerre. Un symbole. Et le signe d’une tendance lourde. General Electric avait créé en 1905 son activité financière, connue sous le nom de GE Capital, mais c’est en 1929 avec la grande crise que cette activité s’est développée pour aider les populations les plus démunies à financer leurs achat. Depuis GE Capital est devenu un monstre financier qui fait jeu égal avec les plus grandes banques. Certes sa part dans le revenu global du groupe a baissé en 15 ans de 51% à 28% mais c’est une décision stratégique majeure.

POURQUOI CETTE DÉCISION?
Pour deux raisons majeures. Tout d’abord une question de valorisation. Depuis que Jeffrey Immelt est aux commandes, 13 ans, le cours de GE a chuté de 30% alors que le S&P a progressé de plus de 70%. D’ailleurs à l’annonce de cette décision, le cours a flambé de 11%. Avec la vente et la séparation de GE Capital, le groupe va distribuer à ses actionnaires 90 milliards de dollars sous formes de dividendes ou de rachats d’actions. Mais ce que ce deal illustre surtout c’est que la finance attire moins les investisseurs que l’industrie qui est mieux valorisée en bourse. Un vrai changement.

LE POIDS DE LA RÉGLEMENTATION
Il a fallu du temps mais la crise de 2008 a provoqué une explosion des contraintes...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Copyright ©2015 MonFinancier (matinale)
Conseil Financier indépendant : avec Marc Fiorentino les solutions patrimoines, les solutions boursières, les solutions immobilières